Mayotte mon paradis
D' immenses tapis aux splendides flores marines,
D'immenses tapis aux couleurs chatoyantes,
Et où çà et là se dressaient de précieuses algues qui semblaient danser au rythme saccadé des vaguettes,
En ouvrant les yeux ,
Une profonde mélancolie m'envahie et dans le but de chasser au plus vite ce cafard,
Me retournant,
Je descends les marches d'un petit et vieil escalier,
Qui me conduit dans l'allée de chaque côté de laquelle,
Sont symétriquement alignés de splendides et vieux rosiers,
Offrant au passant de ravissantes roses,
Dont le si fin parfum embaume cette légère et calme atmosphère,
Au dessus de ma tête filent à tire d'aile de gentils oiseaux qui ,
De leur harmonieux chants égayent ce lieu de délice,
Qui me charme beaucoup et que je pourrais prendre pour le paradis terrestre,
Je m' arrête parfois pour admirer le feuillage vert et jaune des cococtiers avoisinants,
Et dans lequel sautent de branches en branches,
De vieux makis habitués à se délecter des succulentes papayes et dont le pelage fauve ferait de splendides.