Plage de Chimatso
Allongé ,
Seul,
Sur du sable noir,
J'admire le contraste des oiseaux,
Des oiseaux de mer,
Dont leur plumage blanc ,
Se détache distinctement en des lignes,
Remarquablement pures,
Des rochers basaltiques,
De la pointe de Chimatso,
Je vis là une charmante demie - heure de rêve,
Bercé et balancé par les flux et reflux des vagues,
Qui passent sous mon dos,
Pour aller mourir sur la plage,
Oui cela me rappelle un souvenir ,
Moi enfant dans les bras de ma mère,
Tandis qu'elle me berçait pour m'endormir,
Sans compter les milles caresses,
Dont elle m couvrait.